Amis du Cercle, de Lyon, de France, de Navarre, et d’ailleurs,

Nous étions soixante treize (73), aficionados, mardi 12 mars, au Vatel, pour applaudir (dans un silence quasi religieux), et pour boire les paroles, et les textes d’Albert Camus, que le magicien d’Oz qu’est Paul Maragliano, nous avait préparés.

Avec son épouse, il distillèrent tous deux sur écran, des images significatives de la vie, depuis le tout début, de celui qui allait devenir, le premier prix Nobel de littérature «Français d’Algérie », jusqu’à sa mort tragique.

Conférence impossible à résumer. On ne résume pas une poésie. Et Paul était un poète inspiré par les dieux, en ce mardi.

Si on fermait les yeux, on pouvait écouter, rêver et imaginer.

On était « sous le charme d’un ami inspiré ». Comment alors, ne pas partager, l’amour, que le petit Albert, avait pour sa terre natale, dans sa globalité.  

Sa globalité avec, pour lui, ses odeurs, ses senteurs, son soleil implacable, ses habitants, sa mère, ses amis, tous ses amis, unis par la langue française, et la littérature. (merveilleux lien qui transcende tout).

Et balaye tout, comme les vagues du Chenoua et de Tipasa dans le bleu d’une mer tragique.

Il y aura, peut-être une suite à cette rêverie…longue de plus d’une heure cinquante.

Les nourritures terrestres qui suivirent étaient présentés sur un menu, qui fut une agréable surprise pour nous.

Sur une idée du  sympathique «  management » de cette institution. Menu avec citations du Cercle Algérianiste.

Une première qui nous a ‘touchés’.

Merci aux amies et amis du Cercle qui se sont ‘pliés en quatre’ pour assurer le bon déroulement de tout.

Bravos à Francine et à Paul.

Amitiés à partager avec tous les participants à cette journée.

Philibert et le CA du Cercle de Lyon.